L’influenceuse et entrepreneuse Kim Kardashian fait face à de nouvelles accusations de la Federal Trade Commission (FTC) américaine pour pratiques publicitaires présumées trompeuses. Selon l’agence fédérale, la star aurait promu des produits de beauté sur ses réseaux sociaux sans divulguer clairement ses liens financiers avec les marques concernées, violant ainsi les règles de transparence.
Cette nouvelle affaire intervient deux ans après qu’elle ait déjà été condamnée à une amende de 1,26 million de dollars pour la promotion non déclarée d’une cryptomonnaie. La FTC réclame cette fois une amende pouvant atteindre 5 millions de dollars ainsi que l’obligation de publier des correctifs sur tous les posts incriminés.
Kim Kardashian, qui compte plus de 360 millions d’abonnés sur Instagram, a réagi via son avocat en affirmant que « toutes les publications respectaient les standards de l’industrie » et que son équipe « coopérerait pleinement avec l’enquête ».
Cette affaire relance le débat sur la régulation des influenceurs et la protection des consommateurs face au marketing d’influence. Plusieurs associations de défense des consommateurs appellent à des lois plus strictes concernant la transparence publicitaire sur les réseaux sociaux.